Marie Sallantin
la fin des temps
“peintures, dessins”
du 24 janvier au 11 février 2017
from 24 january to 11 february 2017
Vernissage le mardi 24 janvier à partir de 18h
Signature du livre de Pierre-Jean Brassac «Jérôme BOSCH entre soufre et hostie» le jeudi 9 février à partir de 16h
“Art de notre temps, ancré dans une modernité éclatante, la peinture de Marie Sallantin évoque tour à tour Breughel l’Ancien, la Renaissance italienne et les baigneuses de Cézanne ; elle incite notre imaginaire à produire une synthèse de cinq cents ans d’invention picturale et à s’en délecter comme d’une acquisition inespérée qui revivifie l’art d’aujourd’hui auquel elle appartient sans conteste.
Les références spirituelles, symboliques et littéraires qui fondent l’univers personnel de Marie Sallantin autorisent une remontée de quelques siècles jusqu’à l’œuvre de grands prédécesseurs tels que Jérôme Bosch, dont le surréalisme avant la lettre, jette un pont vers notre époque.
L’exposition des peintures de Marie Sallantin offre justement une opportunité à l’auteur que je suis de présenter une biographie où la fiction se porte au secours de l’Histoire et navigue au plus près de ce qu’a pu être la vie de Jérôme Bosch, peintre fantastique et immense artiste qui aura laissé vingt tableaux et quelques dessins encore entourés d’un épais mystère.” Pierre-Jean Brassac
+ presse
“Les peintures présentées ont été réalisées entre 2008 et 2016, les encres entre 2009 et 2011. La fin des temps aborde les thèmes suivants : « La chute des anges rebelles », « Le jugement dernier », « La résurrection de la chair », « Les damnés ». « Je reprends des thèmes très présents dans l’histoire de la peinture, les fresques italiennes notamment, et dans la littérature (Dante) », précise Marie Sallantin. « Art de notre temps, ancré dans une modernité éclatante, la peinture de Marie Sallantin évoque tour à tour Breughel l’Ancien, la Renaissance italienne et les baigneuses de Cézanne ; elle incite notre imaginaire à produire une synthèse de cinq cents ans d’invention picturale et à s’en délecter comme d’une acquisition inespérée qui revivifie l’art d’aujourd’hui auquel elle appartient sans conteste, analyse l’écrivain Pierre-Jean Brassac. Les références spirituelles, symboliques et littéraires qui fondent l’univers personnel de Marie Sallantin autorisent une remontée de quelques siècles jusqu’à l’œuvre de grands prédécesseurs tels que Jérôme Bosch, dont le surréalisme avant la lettre, jette un pont vers notre époque.»” Semantha Deman
http://artshebdomedias.com/agenda/marie-sallantin-fin-temps/