Celia Middlemiss
Célia MIDDLEMISS
Vit et travaille à Paris
Etudes :
1971-75 Ecole Nationale Supérieure des Beaux –Art de Paris, discipline sculpture-1975
1977-81 Travaille pour le décor de théâtre.
1981-86 Ecole Nationale Supérieure des Beaux –Art de Paris, discipline peinture
Expositions personnelles :
1989 La Galerie, Paris
1992 Maison Mansart, Paris
1996-99 Galerie Crous / Beaux – art, Paris (avec Sylvie Lejeune – sculpture)
2002 Atelier 97, Paris
2005 Galerie Mireille Batut d’Haussy, Paris
2009 La Capitale Galerie, Paris, exposition personnelle (en permanence)
2022 La Capitale Galerie, Paris, exposition personnelle
Expositions collectives :
1983 ENSBA – Dessin, Paris
1986 Galerie Crous, Beaux –art « sept peintre et leurs techniques », Paris
1987 Exposition, « Prix Choquet », Paris
1988-91 Portes ouvertes les Ateliers des Orteaux, Paris
1989-91Portes Ouvertes APLA, Paris
1991-94 ARPA (Art, Rech. Plastique Architecturale)-« Art dans la Cite»-Unesco, Paris
1992 Le Temps de Voir, Maillot, Sens
1994 Galerie Varnier, – Europe sans frontière, Galerie Médiart, Paris
1996 Hommage à Geneviève Thévenot, Musée d’Art Moderne de Troyes
1997-98 Galerie Konstruktiv Tendens – Stockholm /Suède
1999 Galerie Jacques Debaigts, Paris
2001 Galerie Borzo- S, Hertogenbosch / Pays-Bas
2016 Galerie Abstract Project, Paris
2018 Galerie Abstract Project, Paris,Vibration
2019 Galerie Abstract Project, Paris, Couleurs « le vert »
2020 Galerie Abstract Project, Paris, Œuvres pendant le confinement
Salons :
1986-18 Salon des Réalités Nouvelles, Paris
1992 3 Biennale Internationale du Pastel- St. Quentin
1992-93 Salon de Monte –la Jolie
1993-95-06 Salon de Mai, Paris
2014 Salon des Réalités Nouvelles Hors les Murs, Pekin-Chine
2019 Salon des Réalités Nouvelles Hors les Murs, Budva, Monténégro
2021 Salon des Réalités Nouvelles , Paris
Extraits :
“Parvenir au plus près d´un accord avec la nature, en capturant sa magie lumineuse par le seul recours des couleurs, tel est l´enjeu pictural de Célia Middlemiss. Son sujet, on l´a compris, est la lumière. Son atelier est modeste, mais s´ouvre à la clarté naturelle par une verrière. Lumière palpable et lumière intérieure s´y rencontrent. Lumière spatiale et lumière chromatique dont elle apprivoise les subtiles imbrications pour une féerie discrète. Elle ne déploie pas les gammes sonores propres à l´orchestre symphonique, mais demeure avec les harmonies intimes de la musique de chambre.
Ses peintures récentes et les pastels préparatoires qui les accompagnent sont comme des icônes ferventes. Un passage des Frères Karamazov lui est revenu en mémoire, où il est question d´un “perron descendu, d´une voûte céleste, des opulentes fleures d´automne” et un autre plus loin ” il ignorait pourquoi il étreignait la terre […], il l´embrassait en sanglotant […] et se promettait de l´aimer, de l´aimer toujours”. Cette effusion à la fois pastorale et spirituelle, Célia Middlemiss l´atteint avec ses couleurs, qu´elle réalise elle-même: des bleus, des verts; la terre de Sienne, la terre d´ombre brûlée.
Des pigments purs qu´elle mélange à l´acrylique et qu´elle pose par touches serrées, taches juxtaposées et bâtonnets entrecroisés. Elle veut parvenir à un mélange de nuit et de jour pour peindre la lumière. Un miroir de l´âme.”
Lydia Harambourg-2005/ la Gazette de l´Hôtel Drouot