Nicol Rodriguez
“peintures, gravures, collages”
du 1 au 24 septembre 2016
from 1 to 24 september 2016
Vernissage le mardi 6 septembre, à partir de 18h
“Mélange d´une complexité forte et d´une subtilité rigoureuse, l’oeuvre de Nicol Rodriguez est surtout l´objet d´une sensation esthétique profondément attirante, voluptueuse à souhait ; ces travaux picturaux offrent dès le premier instant, une douce jouissance, leur lente contemplation, avec le temps, sucitent découvertes inattendues et bonheur surprenant.” Jean de Bengy
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Au commencement, c’ était le néant….puis vint le Soleil….le Vent…..et Nous.
J’ appartiens a ce siècle, ni mieux ni pire qu’un autre…et j’ ai encore la chance de pouvoir experimenter libre de corps
et d’ esprit.
Questions?
Si la vie était “Illusion”, ou serait donc situe le point limite entre fiction et réalité? Je n’ai pas la réponse. Mes pensées vivent dans l’ éternité et font partie du grand jeu celeste.
Mes sentiments ? Ils sont ce que je suis en fonction de la réalité de la vie..mais le futur, lui, il se cree toujours dans le futur a chaque nouvelle seconde…
Et quant a la vie? Je sais que le monde continuera sans moi un jour et c’ est justement pour cela que je crois en ce que
je fais.
La peinture est d’abord un matière pour soutenir la vision artistique et ceci depuis que l’ on a dessiné les traits premiers sur les parois d’une caverne. C’ était il y a très longtemps…et deja très révolutionnaire…
De nos jours? Nous passons notre temps a additionner le temps au temps pour arriver a tuer le temps lui-même. Et, je me demande, si le monde physique n’ arrivait plus a inclure cette étincelle du vivant, ce qu’ il adviendrait de la creation et si celle-ci pourrait encore remplir l’ espace du vivant ?
Et le plus surprenant, au cours du processus de creation, c’ est de réaliser que j’ utilise encore les matériaux de nos premiers ancêtres. Et tout en poursuivant le processus, je réalise a chaque fois, que je fais partie du “ring” en me disant : je vis dans mon oeuvre comme si c’ etait le premier jour du matin du monde.
Nicol Rodriguez